Serge Moulinier – Jazz
Pianiste de jazz, Serge Moulinier nous présente ses projets personnels qu’il joue accompagné en trio et en quintet, deux esthétiques différentes : des compositions personnelles dans les deux cas, mais si le quintet interprète uniquement des créations avec une sonorité plus électrique (album Quintessence-2017), le trio rajoute aux compositions, différents standards adaptés à l’univers musical du groupe (album Tyamosé Circle-2014). Aujourd’hui le trio revient avec un nouvel Album « Quiet Now », pour lequel le groupe avait envie de privilégier la spontanéité et la prise de risque en enregistrant en direct et sans retouches des pépites plus ou moins connues du répertoire.
Le quintet - Album Quintessence
“…Ce 5tet d’excellents musiciens va nous présenter de très belles compositions au gros son juteux, aux harmonies délicates, qui ne sont pas sans rappeler celles du groupe Steps Ahead (à la sauce Michael Brecker), un modèle que nous continuons de révérer. L’auditoire est captivé, ravi par les chorus inspirés et amusé entre deux morceaux par les anecdotes de Serge Moulinier, vrai show-man capable de créer le contact. Un pur régal.”
Le quintet - Album Quintessence 2017
« … Serge Moulinier : quel swing, quel groove, quel pianiste!.. Cinq musiciens éclatants de talent, il y a une unité et une continuité dans le répertoire…Serge avouera s’être fait plaisir sur ce projet, imbibé qu’il est de multiples influences…”
Le trio - Album Tyamose circle
“… Son jazz est moderne et sacrément bien tourné, et ses envolées savent trouver sérieux appui sur une rythmique bondissante et experte. On a beaucoup aimé « Ballade à Joe » dédiée au grand Joe Zawinul, mais aussi les autres thèmes, dont « Black Jack », hommage à Jacques Loussier. Chacun a pris de superbes chorus, et l’on a ainsi vogué de balades subtiles et intimes en morceaux plus affûtés et pêchus. Mention spéciale à Didier Ottaviani, qui lors d’un solo époustouflant, a fait frémir l’eau argentée du bassin…”
Le trio - Album Tyamose circle
« … Serge me rappelle par son toucher et la chaleur de son jeu le Oscar Peterson de Nigerian Marketplace…il y a pire comme référence…”